Bondamanjak

Campus Caribéen des Arts… un bordel en bond d’art et en tout cas quart ?

L’homme qui a bien voulu libérer la parole en s’invitant sur le divan long de 73 km de Bondamanjak tire nerveusement sur une cigarette qui ne va pas faire long feu.

Le vent qui souffle continuellement comme pour brouiller les pistes attise le bout de la sans filtre. Son verbe, sa mémoire et son rythme sont bien malgré lui en free style.

On va garder cette réalité pour reproduire fidèlement son trouble. Je n’ai même pas le temps d’en placer une, même pas une question. Il parle comme une rivière enflée par les pluies d’en haut.

Vous pensez bien qu’on ne va pas en rester là. Il a trop dit comme dirait Trudy Monk. On va donc devoir se revoir. À suivre…