Certains membres des syndicats de leur côté sont soupconnés, par la « base » de complaisance avec la direction car ayant pu bénéficier d’avantages particuliers pour eux et leur parents, amis et alliés.
La direction aurait elle, par incompétence, fait des choix qui aurait plombé les finances de l’établissemnt?
On parle aussi de ces fêtes annuelles du personnel au François, qui ne seraient en fait qu’un moyen pour la direction de séduire le personnel selon la formule magique « nèg enmen bwè-manjé », et où certains membres du syndicat dansaient le zouk avec Mr et Mme le Directeur.
Colson serait il une image de notre société martiniquaise?
-Une direction zorèy venue prendre du bon temps dans les îles et ayant pris la mesure des locaux?
-Des membres antillais des syndicats défendant d’abord leurs intérêts personnels?
-Des psychiatres antillais, rares, peu concernés par la situation dramatique de l’établissement, « spécialistes » du deuil ou de la toxicomanie sous les sunlights des médias, mais mutiques sur nos patients?
-Un établissement poudre aux yeux neuf, Mangot Vulcin qui n’aura de 150 lits aolrs que Colson qui doit fermer est en permanence à plus de 300 lits?
-Des malades qui ne peuvent pas être admis faute de place et qui son en errance complète?
-Le silence des politiques sur un sujet important mais certes peu propice à de la surenchère politico médiatique?
Plus on est de fous plus on s’amuse dit-on………surtout au soleil
Il paraît qu’un syndicat de Colson aurait demandé un audit pour mieux comprendre la situation financière.
