Bondamanjak

COMME QUOI…

Nous avons reçu un mail d’un internaute martiniquais…étonnant.

« Jeudi j’ai reçu un email du LKP nous invitant à changer nos habitudes de consommation qui par un effet de « copier-coller » devrait s’appliquer à la Martinique. En ce samedi 28 février 2009 j’ai pu en constater les premiers résultats.

       En faisant la queue au KFC j’ai à ma grande surprise rencontré des membres du collectif du 5 février -de tous âges- qui faisaient la queue pour se restaurer, après un rapide coup d’œil à la carte des menus je me suis rendu compte qu’il n’y avait aucun produit du terroir Martiniquais (pas de légumes pays, pas de cochon pays, pas de ti-nain, pas de bananes jaunes,…)
Voilà un comportement patriotique que je tiens à saluer; les membres du collectif ont enfin compris les véritables enjeux économiques de notre île : il faut acheter américain pour lutter contre le grand colon béké maux de tous nos problèmes et nos comportements.
A long terme cela ne pourra qu’aider le « pays Martinique » et une question me vient à l’esprit : « A-t-on mis les fast-food sur la liste des familles de produits ? »
Je peux sans hésiter répondre par l’affirmative, sinon que ferait les membres du collectifs au KFC d’autant que les abords de la Maison des Syndicats sont jonchés de petits vendeurs, en tout genre, solidaires du mouvement. »

Extrait du courrier du LKP :

Essayez de réfléchir à une solution pour réduire voir même supprimer votre dépendance aux choses.
Canal sat > télé locale
Orange > téléphone fixe ou internet
EDF > elctricité solaire, electricité éolienne
Générale des Eaux > Citerne personnelle
Voiture > Système de transport très bien organisé et co voiturage – Vélo
Hypermarché et Fast Food > jardin locale et consommation chez les maraichers locaux.
Remplacer les plantes ornementales par des légumes et fruits de chez vous.
Boite de nuit > soirée entre amis et parents …. (Temps, zouk, surprise party hommes boissons/ femmes pâtisseries)

                              

                                                                                                      L’Epicurien