Bondamanjak

Communiqué de presse – 14 août 2013 De la part de Maître Dina RIOUAL-ROSIER et Maître Philippe SENART

Suite à notre article diffusé le 14 août 2013 à 15 heures, la réaction du Groupe Bernard #Hayot (#GBH)ne s’est pas fait attendre. Une grande et délicieuse joute judiciaire empreinte de jute se prépare.
Notre client Stéphane #Hayot a été gravement mis en cause dans un article publié le 14 août 2013 sur le site internet www.bondamanjak.com. Comme le montrera l’enquête, les accusations de Madame #Dailloux sont totalement mensongères et diffamatoires, et portent gravement atteinte à l’honneur et à la réputation de notre client.
Bien avant que Madame Dailloux ne porte plainte auprès du Procureur de la République de Fort-de-France, notre client a porté plainte auprès du Procureur contre Madame Dailloux pour chantage et tentative d’extorsion de fonds.
Le licenciement de Mme Dailloux est motivé par des raisons strictement professionnelles et a scrupuleusement respecté les procédures légales. En juin dernier, notre client a pris la décision de se séparer de Madame Dailloux pour insuffisance professionnelle caractérisée. Alors que la procédure de licenciement était déjà lancée, celle-ci a colporté des accusations graves, ne reposant sur aucun fondement, à l’encontre de notre client.
Il est apparu clairement que les manœuvres de Madame Dailloux n’avaient d’autre objet que d’obtenir une indemnité de licenciement d’un montant au moins égal à deux années de rémunération alors qu’elle n’était en poste que depuis 7 mois.
C’est dans ce contexte que notre client a décidé d’une part de poursuivre jusqu’à son terme la procédure de licenciement en notifiant le 5 août 2013 à Madame Dailloux son licenciement pour faute lourde ; d’autre part de porter plainte le 6 août 2013 auprès du Procureur de la République de Fort-de-France pour chantage et tentative d’extorsion de fonds.
Nous exercerons toutes voies de droit contre toute personne qui, en véhiculant les accusations mensongères de Madame Dailloux, porterait atteinte à l’honneur et à la réputation de notre client et demanderons une indemnisation à la hauteur du préjudice qui serait subi.