Bondamanjak

é si ravèt té ni rézon douvan poul ?

Des chercheurs  se sont intéressés sur la capacité des ravets, cafard ou blatte chez les autres, de survivre dans les lieux les plus insalubres où pullulent toutes ces bactéries qui nous dégomment.
ET voilà qu’ils ont trouvé dans le cerveau de la chère bête des substances qui foudroient les bactéries.
L’intérêt est grand puisqu’ aujourd’hui on a en face de nous des bactéries résistantes à tous les antibiotiques.
Donc notre survie risque de passer par les cafards, les chinois depuis très longtemps faisaient des onguents avec les cafards.