Bondamanjak

Et si la Martinique votait « NON » le 24 janvier 2010

Depuis le 10 janvier 2010, le « non » s’est fait un nom en Martinique comme en Guyane. Et cet affreux palindrome donne des sueurs presque froides à tous les fins tacticiens et autres politicos polyformes  du cru. Eh, oui le « non » est supérieur au « oui ». par exemple dans un contexte coïtal quand le oui veut encore dire oui, le non lui peut vouloir dire oui alors qu’on entend non. Il faut avouer que tout cela est le casse-tête des sondeurs qui savent qu’un jour ou l’autre on sera obligé d’aller au fond des choses. A quelques jours du 24, dans une campagne longue comme un appendice d’eunuque, Le non s’annonce comme une saine sanction dans une consultation mise en scène. Même à l’UMP, on sent un vrai manque à Granier.