Bondamanjak

Faut il brûler les journalistes?

Le temps aujourd’hui du web 2.0 est le signe d’un renouveau participatif qui s’accompagne d’une formidable mutation de la vie sociale, économique, culturelle et politique. Le printemps arabe à coup de sms et tweets a fait chuter des puissants pouvoirs totalitaires que des élections « démocratiques » n’avaient jusque là pu ébranler…

Cette attitude, dans notre société qui aime se dire libre de parole et ouverte aux idées,  est pour le moins misérable et paraît intellectuellement limitée de la part de ceux qui veulent présider aux destinées d’une collectivité unique avec plus de responsabilité.

Un Martiniquais « Non journaliste » mais électeur…