Bondamanjak

France-Antilles le fond de l’air sent…très mauvais


Le groupe va très mal! Bien pire que présenté aux salariés.En Guyane, les suppressions de postes seront plus importantes que prévus si la stratégie du tout digital est retenue.

Mais c’est aux Antilles que ça pue. Des tensions raciales jusque là plus ou moins maîtrisées par les dirigeants successifs, apparaissent au grand jour: d’un côté lesBlancs et de l’autre les Noirs.

Chacun pour sa pomme d’eau, pour tenter de sauver son job en utilisant tous les moyens nécessaires comme le racisme et/ou le communautarisme.

Il est à prévoir des cicatrices profondes si le groupe se redresse.Mais est-ce bien la volonté de la Boss, « la fille Hersant »comme elle est surnommée.

Selon nos sources, elle a fermé à double-tour le tiroir-caisse. Plus un sou ne sera investi dans le quotidien régional historique de plus de 50 ans.

Même le plan de départ ne sera pas financé par la Boss. Elle en a marre, claque la porte! Elle se casse! Elle qui a investi plus de 15 millions € en 6 ans, veut tourner la page. 

La faute à qui? À un recrutement et ce depuis le début, favorisant les les inégalités salariales et par conséquents les tensions, bien entretenues par les directions successives, justifiant ainsi le recrutement communautaire?

Le grand remplacement avait déjà commencé ….ou la faute à des erreurs stratégiques d’éditorial? Là aussi, on peut pointer le recrutement communautaire venu de l’extérieur de gens qui ne connaissent pas la réalité locale et ses implications. Mais ce n’est pas nouveau.

Dans tous les quotidiens régionaux de France le pays des droits de l’homme qui a déclaré l’esclavage crime contre l’humanité, on recrute des journalistes locaux… sauf dans la presse locale aux Antilles-Guyane… Donc la faute à nous-mêmes ?

Et des journalistes locaux diplômés il y a en beaucoup au chômage… Mais bon…Aux dernières nouvelles, il se dit que les collectivités locales, en particulier la région Guadeloupe, serait prête à investir pour sauver France-Antilles… Est-ce vraiment à cela que doit servir l’argent public: sauver un journal local privé et qui de plus a toujours méprisé son lectorat ? Sans commentaires mais comment faire ? Euh…À suivre ?