Bondamanjak

Histoire. Les colonies et le sexe. Paul Gauguin, le peintre pédophile.

Le New-York Times du 21 novembre 2019 propose d’interdire l’exposition de Paul Gauguin, au nom de principes moraux qui échappent à certains français.

Le quotidien américain estime en effet « qu’il est temps d’interdire ce peintre pédophile et colonialiste » (lire ici en anglais). Bien entendu, les compatriotes de Paul Gauguin crient à la « censure ».
A sa décharge : Paul peint si bien les petites filles dénudées et lascives… car « vous savez sous les Tropiques »… sous entendu, les jeunes filles sont plus précoces… et la sexualité est « différente ». Bref, tous les arguments colonialistes habituels.

A Tahiti, elles ont 13 ans et elles font tout pour pas cher.

Car dans la rubrique balance ton Porc, après Woody Allen, Roman Polansky voici Paul Gauguin, le peintre pédophile. Pour rappel ce type a – un temps – vécu en Martinique, au Carbet à l’anse Turin, avant de partir vers Tahiti. Sans doute que le cheptel local de petites filles de 13 ans à prostituer n’était pas assez fourni pour cet homme. Atteint de maladies vénériennes, il essaimait ses virus tel une plante à bulbe. Il a finit par repartir au bout de 5 mois, pour aller saupoudrer ses chlamydia à Tahiti.
Mais au Carbet on peut encore visiter la « maison » de Marc Dutroux, oups, Paul Gauguin… un genre de musée qui « sépare l’homme de l’artiste ».

« Imaginez si on faisait un film sur un maori qui débarque en Bretagne et qui couche avec des filles de 13 ans »

La minute poésie :

« Treize ans à l’époque, c’est peut-être pas treize ans aujourd’hui non plus. Certes c’était archaïque, c’était complètement fou, mais c’était comme ça. » (l’acteur Vincent Cassel, justifiant l’injustifiable.)