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LA REACTION DU CREDIT AGRICOLE MARTINIQUE-GUYANE

Le CREDIT AGRICOLE MARTINIQUE-GUYANE constate et prend acte de l’action médiatique dirigée à son encontre par Monsieur Maurice LAOUCHEZ – ne serait-ce que par la localisation qu’il a choisit – l’appelant, de surcroît, à « prendre ses responsabilités » en « retirant sa plainte », selon les propres mots de ce dernier.
 
Le CREDIT AGRICOLE MARTINIQUE-GUYANE tient à rappeler que, dans l’affaire l’opposant à Monsieur Maurice LAOUCHEZ, la plainte déposée en 997 a laissé la place à deux décisions ; à savoir le jugement du Tribunal Correctionnel de Fort-de-France du 25 Avril 2007 confirmé par l’arrêt de la Cour d’Appel de Fort-de-France du 4 Février 2008 ; au titre desquelles Monsieur Maurice LAOUCHEZ a été condamné pour escroquerie ainsi qu’au paiement d’une somme de plus de 11.000.000 E à titre de dommages-intérêts.
 
Cette somme correspond à la perte financière pour la banque (notamment les prêts non remboursés) dans le dossier immobilier Hameau de Beauregard à Sainte Anne, dont la famille LAOUCHEZ était le promoteur et dont elle s’est avérée finalement être le bénéficiaire principal .
 
Nous rappelons que la plainte qui est à l’origine de ces décisions de justice avait été déposée en 1997. En conséquence, pendant plus de 10 ans, Monsieur Maurice LAOUCHEZ  a préparé sa défense. Au surplus, devant le tribunal comme devant la Cour d’Appel. Les audiences se sont tenues sur deux jours et chacune des parties a disposé de tout le temps nécessaire pour s’expliquer. Enfin, la cour d’Appel s’est donnée trois mois de réflexion avant de rendre sa décision.
 
Dans ces conditions, dès lors qu’il a été jugé deux fois, l’action médiatique de Monsieur Maurice LAOUCHEZ n’est rien d’autre que la négation de l’arrêt de la Cour d’Appel de Fort-de-France et constitue une tentative d’influence sur la décision à venir de la Cour de Cassation.
 
S’agissant des dommages-intérêts dus par Monsieur Maurice LAOUCHEZ, le CREDIT AGRICOLE MARTINIQUE-GUYANE entend en poursuivre le recouvrement.