Cher Sergio.
Je tiens tout d’abord à te présenter mes plus plates excuses. Je n’aurai jamais dû parler du cas #Cassandre en pleine semaine pascale. Je sais que ça t’a fait descendre. Mea culpa. Je n’ai pas été cool. Voilà tu me pardonnes ? Ok.
Néanmoins toi et moi savons que je n’ai point menti. Par exemple ton gendre Vincent #Fayad travaille dans la collectivité régionale après un séjour à…Transdev…tu vois ce que je veux insinuer ? Ok. On va dire que c’est un hasard.
Sa mère, la belle-mère de ta fille, aurait récemment été embauché à la tête de la maison de retraite Yole Gran Moun. On va dire que c’est un hasard.
Tu as eu la bonté de recruter deux filles d’un élu du nord de l’île. Mmmmm…On va dire que c’est un hasard.
Chantal ma copine nappy…elle a pu avoir un poste pour sa fille. On va dire que c’est un…hasard.
Bon…on ne va pas tout dévoiler là maintenant. Il faut que je cadre mes écrits avec mon brillant conseil que tu connais. Car il me dit tout le temps…. »Monsieur Dégras …ayez le souci de la vérité » Alors je l’écoute.
Son dernier conseil est important. Je le cite « Même si politiquement vous ne vous sentez pas français…ce serait bien que vous réclamiez la carte de presse… » Eh bien…après moult réflexions concessions…je vais le faire …à cause de toi car chaque fois tu me mets la pression en méprisant #Bondamanjak…et moi-même ton ami… »un soit disant média local…un bloggeur privé ». Je vais le faire juste pour t’emmerder toi et les autres. Ça t’apprendra.
Au fait, ne tente rien contre moi… car si je meurs de mort violente dans les six mois à venir…Sergio…ou sav ke tout moun ké di kè sé wou ki dèyè sa mafia…je sais que tu ne m’aimes pas beaucoup mais bon…ne me donnes pas un destin alikerien.
Car André et moi avons des points communs forts. Il était soucieux de vérité et n’avait pas la carte de presse. Et je ne suis pas Charlie…je suis Gilles ton ami.
Bisous à Cassie sans oublier Céline
gilles dégras
Plus d’infos sur le sujet :
http://www.bondamanjak.com/jamais-sans-ma-fille/
http://www.bondamanjak.com/serge-letchimy-denonce-les-attaques-de-bondamanjak/
