Bondamanjak

L’affaire de « l’affaire Aliker »

Cf. Brochure JO 3048 Production cinématographique

 

 

Ces conditions  de travail nous paraissent intolérables. Nous, professionnels du cinéma et de l’audiovisuel martiniquais, ne voulons pas être considérés comme une simple main d’œuvre et exigeons que le Droit du Travail soit appliqué.

 

     Nous souhaitons vivement être mis en relation avec un interlocuteur chargé des affaires culturelles afin de discuter sur d’éventuelles mesures à prendre, envers les sociétés de production, lorsque la collectivité s’engage financièrement sur de tels projets. Nous voulons êtres valorisés en tant qu’acteurs économiques du secteur du cinéma et de l’audiovisuel.

 

 

     En espérant être entendu, veuillez agréer monsieur le président, nos respectueuses salutations.

 

 

                                                    Les membres de l’association.

 

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