Bondamanjak

L’Antillais, le pont de la Gabarre et la lampe

Un antillais est en train de traverser le pont de la Gabarre en Guadeloupe et il trébuche sur une vieille lampe. Il la ramasse, la frotte et un génie en sort. Le génie, lui dit : « tu peux être ravi : je t’accorde un voeux ! »
 Le type s’assoit et pense longuement… Au bout d’un moment, il se décide et demande :
« J’ai toujours rêvé d’un voyage à Tahiti, malheureusement j’ai peur de l’avion et j’ai le mal de mer. Pouvez-vous me construire un pont
jusqu’à Tahiti, pour que je puisse m’y rendre en voiture ? »
Le génie ne dit rien pendant quelques secondes, puis éclate de rire :
 
« C’est impossible ! Pense à ce qu’il faut utiliser pour soutenir un tel pont, pense au béton qu’il faudra faire couler, aux tonnes
d’acier…  Je suis un génie, OK, mais je ne peux pas faire de miracle… Il faut tout de même rester dans le domaine du raisonnable !!!  Non, demande-moi autre chose, c’est trop compliqué ! »
Le type se remet à réfléchir. Au bout de quelques minutes il trouve autre chose :
 
« J’ai été marié et j’ai divorcé 4 fois.  Mes femmes antillaises m’ont toujours dit que je ne m’intéressais pas à elles et que j’étais
insensible.  Alors, ce que je voudrais, c’est… comprendre ces femmes. Savoir ce qu’elles ressentent, et ce qu’elles pensent
lorsqu’elles sont silencieuses… Savoir pourquoi elles pleurent, ce qu’elles veulent vraiment dire lorsqu’elles disent non… Pouvoir les
rendre heureuses… Bref, comprendre leur psychologie. »
Le génie le regarde, puis demande :
 
Le pont, tu le veux avec 2 ou 4 voies ?………