Bondamanjak

Le courrier de faux-cul de Serge Letchimy au préfet de Martinique

Serge #Letchimy a un talent lent. Il vient de déclencher chez moi un rire métis. Je viens de lire cette bouse sur son mur Facebook et j’ai rarement lu un tel ramassis d’hypocrisies. Ok j’abuse. Le récent communiqué bidon de #Nilor était du même acabit.
Ces mecs foutent le bordel via leurs sbires écervelés et ensuite ils reviennent à la réalité comme des innocents puceaux sortant
pénards d’un lupanar pour prôner la sagesse et la paix Dans le monde. Hey les mecs… quand vous avez des textes à rédiger…appelez Max Mathiasin.
Au fait Sergio…selon mes sources parisiennes…Macron et son premier ministre ne te supportent pas…mais pas du tout… donc comme pourrait dire #Kalash… arrête la lèche.Lèche…lèche.🎶🎶🎵 Après deux verres de rhum🎶🎶🎵 je vois louche. Na na na na na…🎶🎶🎵🎵…j’la vois déjà dans ma douche…na na na ba na…🎶🎶🎵 Nems…nems. Regarde devant ti bay.

Ce jour , le 30 novembre 2017, j’ai envoyé ce courrier au Préfet :

A Monsieur Franck ROBINE, Préfet de la #Martinique

Le conflit Parc Naturel Régional de Martinique/CTM n’a que trop duré – plus de cinquante jours – prenant une tournure pour le moins inquiétante. En conséquence, un climat de violence qui se dégrade, le refus de tout dialogue et surtout l’utilisation de méthodes pour le moins inquiétantes et en complète contradiction avec les accords de Bercy pour la fonction publique, entrainant des dérives de plus en plus inacceptables.
Il est de mon devoir de vous sensibiliser sur la tournure malheureuse que risque de prendre ce conflit dans une Martinique au bord du chaos. L’évacuation par la police des grévistes, l’utilisation de maitres-chiens et de chiens rappelant des temps abominables, des syndicalistes agressés physiquement, des institutions qui refusent de dialoguer…. Cela ne s’était pas vu en Martinique depuis plus de soixante ans, un tel climat heurtant nos mémoires, souvenirs de nuits coloniales abjectes.
Alors, le rôle de l’Etat que vous représentez, en de telles circonstances, est aussi de prendre l’initiative d’une médiation en lieu et place de la matraque.
En tant que député de la Martinique, je demande à l’Etat de proposer cette médiation qui, aujourd’hui, s’impose, pour un retour attendu, d’échanges et de dialogue social.

En l’attente, veuillez recevoir, Monsieur le Préfet, mes meilleures salutations