En Décembre 2012, la journaliste Lisa DAVID entamait une grève de la faim, épuisée par le harcèlement moral de #Martinique Première qu’elle subissait depuis 20 ans.
Au bout de cinq jours, la Direction de Martinique Première et un Directeur venu de Paris signaient un protocole d’accord par lequel ils reconnaissaient le harcèlement moral et s’engageaient « à faire cesser ces nombreux faits qui ne doivent plus se reproduire ».
Pourtant, le harcèlement moral reprenait dès Janvier 2013 puisque le salaire de Lisa DAVID était considérablement amputé, en violation de la convention collective.
Par exemple, pour le mois d’Avril 2013, son salaire n’était que 190 euros.
Suite aux réclamations légitimes de Lisa DAVID, le Directeur de Martinique Première Jean-Philippe PASCAL admettait les erreurs sur la paye et par conséquent le bien-fondé des réclamations de la journaliste, puisque par SMS du 28 mai 2013, il l’informait que « la régularisation en paie pour la période allant du 1er Janvier au 31 Mai se fera sur la paie de Juin compte tenu des nombreux calculs à faire ».
Aujourd’hui, malgré les erreurs répétées que la Direction de Martinique Première a commises et le harcèlement moral reconnu qu’elle a fait subir depuis 20 ans à Lisa DAVID, elle lui a notifié son licenciement pour faute grave, sans préavis ni indemnité.
Lisa DAVID conteste son licenciement tant dans la forme que sur le fond et étudie avec ses avocats les suites à donner.
