Bondamanjak

Le Lion n’est pas mort, il dort !

 

Habité d’un talent il nous lègue un diamant,
Emportant avec lui là haut au paradis,
Non pas ses belles chansons, mais ce grand corps de lion.
Remisant sa carrière au bout de sa croisière,
Il s’en va en silence, laissant une peine immense.

Sans aucune prétention, il a fait un carton,
Apportant au pays les plus belles mélodies.
La vie lui a donné une grande scène pour chanter,
Visitant la mémoire d’un peuple en quête de gloire,
A chanté pour sa mère tous ces airs d’avant-hier.
Dominant son parcours où a régné l’amour,
Offrit cette variété qui l’a plébiscité.
Rassure-toi cher Henri, rien n’est encore fini.

« La mort n’est pas une fin, c’est le début d’un épisode,
c’est la suite d’une expression, la confirmation d’un talent ! »

Luc André 13 février 2008