Ce mercredi 24 août, mon téléphone écourte une nuit déjà trop courte. Il est 5 heures et le grand deuil qui nous concerne va commencer. Le coeur meurtri de la Martinique est au stade de Dillon…Il pleut, le ciel verse des larmes qui expriment une douleur rare. Ce jour empreint d'émotion doit démontrer notre volonté d'aider et surtout de soutenir des familles accablées. Un seul jour ne suffira pas et c'est bien pour cela qu'il est important de comprendre que la Martinique toute entière a le devoir d'elle même. Pour l'heure je suis fier d'elle pourvu que ça dure.
