Bondamanjak

NILOR ET LES GENDARMES

 d'autre part, je ne reconnais pas au procureur de la République la qualité pour déterminer ce qui est légitime ou pas pour le peuple martiniquais
En définitive, je considère que compte tenu du caractère politique de l'affaire et de ma convocation, je n'ai pas aujourd'hui à fournir d'explications dans une brigade de gendarmerie car le débat doit avoir lieu dans d'autres enceintes. c'est pourquoi je n'ai rien de plus à déclarer.
Je tiens à insister sur la correction des gendarmes qui m'ont interrogé….
je porte plainte contr …X…pour les propos diffamatoires à mon encontre, parus dans la presse écrite et télévisée et qui laissent entendre que je serai l'instigateur de cette action et que celle -ci serait organisée à des fins racistes; je porte plainte également contre le résident qui a sorti une arme et en a fait usage ce jour là. Enfin je porte plaintes contre les gens qui ont proféré les propos racistes.
Le 4 juin 2007 à 10 h 15, lecture faite par moi des renseignements d'état civil et de la déclaration ci-dessus, je persisite et n'ai rien à y changer à y ajouter ou à y retrancher

Jean-Philippe Nilor