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Sainte-Anne, capitale écologique du Modemas?

S’agissant de la première, à savoir – “le rassemblement pour la sauvegarde” – il ne fait nul doute quant à la nécessité de mettre en place un véritable plan de sauvegarde écologique, cependant les moyens et la politique mis en oeuvre par le Modemas ne permettent pas d’y parvenir. Les exemples sus-mentionnés en sont bien la preuve.
Quant à la résolution “pour une alternative à l’aménagement et au développement fondée sur l’écologie politique dans la perspective du développement durable et solidaire”, cela fait aujourd’hui 23 ans que nous en entendons parler sans que cela n’aboutisse à des concrétisations à la hauteur de l’attente des Saintannais.

 

Ce concept a tellement été galvaudé à Sainte-Anne qu’il en a perdu tout son sens. Le seul effet produit par la politique de développement durable et solidaire menée à Sainte-Anne a été la perte de plusieurs centaines d’emplois, la fermeture de plusieurs établissements de tailles diverses, la désertion touristique et la perte de confiance en l’avenir. Pour preuve, des commerçants affirment que pour développer leur activité à Sainte-Anne il n’obtiennent pas de financement, alors que pour s’implanter ou développer ces activités ailleurs ils sont suivis.

Grâce au changement de majorité au Conseil Général nous avons échappé au pire ! La mise en œuvre de l’agenda 21 du Conseil Général par son ex deuxième vice-président relevait des méthodes d’appauvrissement appliquées à Sainte-Anne. Il est dès lors évident qu’avant de se lancer dans ses résolutions d’envergure nationale, le Modemas ferait mieux de faire la preuve de l’efficacité et du réalisme de son modèle dans le fief de son président.