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Coronavirus en Martinique : le journaliste Franck « Pulitzer » Zozor réinvente…le hasard

À l’heure où certains idéalistes originaires de la Martinique parlent d’une improbable idylle entre Emmanuel de Reynal et Catherine Conconne, le journaliste de La 1ère (ex RFO) creuse irrémédiablement l’écart entre lui, Jean-Marc Pulvar et Victor « ARS bok » Monlouis Bonnaire.

Vendredi 27 mars 2020, il a frappé très fort comme un légendaire vengeur masqué qui surgissait au fond la nuit et qui signait à la pointe de l’épée. Dans ce reportage, Francky a le cul bordée de nouilles Barilla.

Manque de masques ?

Et paf…un agent de la Collectivité Territoriale de l’île en apporte.

Manque de gel hydroalcoolique ?

Et paf…quelqu’un arrive sur le parking pour en livrer. Et c’est qui ? C’est QUI ? Charles. Charles ? Charles Magne ? Mais non. Arrête tes conneries. C’est Charles L’archer le neveu de Guillaume Tell et de Louise ? Non. Putain…Pétain…comment peut-on ? C’est Charles Larcher le directeur du CODERUM. Le Burns du Groupe Bernard Hayot (GBH). Adieu la vaseline. Bonjour le gel.

Eh oui…Franck Zozor n’est plus journaliste, il est plus que ça. Il est scénariste et réalisateur comme Roman Polansky comme Woody Allen. Et là il est en train de récolter la palme au Festival de cannes à sucre. Il est le roi du hasard, il dribble l’actualité dans son jardin comme Eden Hazard.

Oui ces jours-ci comme disait Guy Tirolien, il y a du sucre dans l’air. Et certains se sucrent dans notre belle société factice. Antoine Crozat avait vraiment raison. Je vous en prie…prions.