Bondamanjak

José Anelka : « Et puisque vous voulez savoir, Mme Sénat est la seule personne qui se fait sauter dans la rédaction »

Arrêtez de lire en diagonale. Pire, d’un commun accord, arrêtons de le faire au nom de #Colbert le père du Code Noir qui a une statue en #France, le pays des droits de l’homme qui a déclaré l’esclavage crime contre l’humanité.

Récemment un ami qui me veut du bien (c’est assez rare pour le signaler) m’interpelle sur Whatsapp le plus important média au monde.
Il me parle d’un article de Médiapart sur le cas de harcèlement moral et sexuel à RCI #Guadeloupe que Pascale Lavenaire et l’excellent Jean-Marc « Audrey » Pulvar n’ont pas relayé.
Et moi de répondre comme un mec over booked, un laxiste « Bof…j’ai vu ça passer ». Quelle erreur, du coup, mon pote voulant réparer mon relâchement, me renvoie le précieux PDF. Oh mon dieu, oh my god, oh djee zeus.
Que lis-je ?
J’ai des vertiges à la tige.
José Anelka, en mode By Low Law qui déclare : « Et puisque vous voulez savoir, Mme Sénat est la seule personne qui se fait sauter dans la rédaction ». Et qui remet une couche du même acabit :« Vous pouvez dire que Mme Sénat est la seule journaliste qui se fait prendre sur les bords des tables à la rédaction ». Hallucinant, José Anelka,  ce romantique qui ne ne va qu’au cœur, qui tient de tels propos…ce n’est pas possible. Il est envoûté. I bŕè an dlo ma ? An siwo règ ? Seigneur Jésus. Putain…Pétain, comment peux tu ?
EXTRAIT DE L’ARTICLE DE MÉDIAPART

Une seule chose est sûre les termes et ces deux phrases portent atteinte à l’honneur d’Ingrid Sénat et ce n’est pas Marlène #Schiappa qui nous démentira.
La balle est dans le cas du conseil de la journaliste.

José, si j’ose dire, ne doit pas pas être tranquille dans son slip kangourou de gourou radiopho-nique, car ça sent fort le mix entre injure et diffamation. On va encore se marrer. Putain…Pétain…comment peut-on ?