Bondamanjak

L’affaire du #Ceregmia ….est-ce la partie visible d’un scandale financier qui pourrait éclabousser le pouvoir socialiste en France ?

L’affaire du #Ceregmia … est-ce la partie visible d’un scandale financier qui pourrait éclabousser le pouvoir socialiste en #France ? C’est une bonne question.

Au cœur de l’intrigue… un trou financier de 10 000 000 € (dix millions d’euros) creusé au sein de l’Université des Antilles-Guyane (#UAG). Où est passé cet argent ? Deuxième bonne question.

Certains pourraient dire que ça a servi à acheter des bokits et des accras. Mais pas évident que ça fasse crédible. Alors sauf si on croit fort au pouvoir de l’évaporation, il y a sûrement des gens et autres structures qui en ont grassement profité.

10 000 000 € …c’est beaucoup.

Aussi, on comprend facilement les lenteurs de la justice française. La ferme volonté socialiste de noyer le poisson Université des Antilles #UA et de lui offrir l’apnée éternelle. Car un scandale tel pourrait torpiller l’importante échéance électorale de 2017. Oui… une étonnante lenteur… rendez-vous compte… depuis octobre 2014… l’Université, un outil important pour l’avenir des jeunes, … »fonctionne » sans budget. Magique.

C’est un peu comme si un véhicule roulait sans carburant. Alors les ministres ne disent rien. On joue la montre. On leurre l’heure. Mieux on motive l’horloge maçonnique. On nique sans panique. Logique de pourrissement. Bref.

10 000 000 € (dix millions d’euros) ….tjip.

Rappelez vous. Le 21 mai 2014, dans un courrier en réponse à l’article de #Mediapart du 19 mai 2014, Victorin #Lurel s’est totalement défaussé sur Serge #Letchimy en accusant ce dernier d’avoir lourdement insisté pour qu’il annule la déprogrammation des projets prononcée en 2011.

Pourtant n’est-il pas à mettre en cause lui aussi, comme ordonnateur de la décision d’annulation de la déprogrammation ? Il semble bien que oui, car s’il avait effectivement connaissance de faits justifiant cette déprogrammation, et notamment d’un rapport écrit de l’autorité de gestion, pourquoi est-il revenu sur sa décision de déprogrammation ?

Parler de «crise politique» avec Serge Letchimy suffirait-il à le dédouaner aux yeux de la justice ?

A la fin de ce courrier, V. Lurel plus que hardi…précise qu’il s’associerait à toutes procédures pénales…

Pourquoi ne l’a-t-il donc jamais fait ? Préfère-t-il asphyxier l’Université ou préserver le ou les coupables dans ce migan de bokits ?

Par ailleurs, comment expliquer le déferlement de passions et de haines sur La présidente de l’Université, celle qui a tout pour être l’âne de la fable « Les animaux malades de la peste », qui en voulant mettre de l’ordre a découvert le couvercle de ce kanari qui sent mauvais. C’est elle la coupable. Oui. Pas ses prédécesseurs. En plus c’est une femme an nou sek anlè’y. Sa ké aprann ou. Sakré ti popilè.

– pas un mot sur G. #Virassamy qui a marché dans la combine du diplôme zombie de master en management en signant la convention/ qui a organisé un pseudo-conseil de discipline et n’a pas fait appel de la sanction symbolique qui a été alors prise

– pas un mot sur Pascal Saffache qui était pourtant aux commandes de janvier 2009 à fin 2012, période où un maximum de conventions-bidons ont été signées, source de la majorité des remboursements à effectuer. Pascal Saffache qui était membre du CEREGMIA.

Que voit-on au contraire ?

Un Décret du 30 mars 2015 portant nomination, titularisation et affectation (enseignements supérieurs) – M. SAFFACHE (Pascal) comme Professeur des Universités NOR: MENH1502729D, soit une promotion par la Ministre d’un ordonnateur fortement impliqué dans cet énorme scandale financier.

10 000 000 € (dix millions d’euros)

Une somme qui a dû notamment servir pour financer des partis, des campagnes électorales …et tout ce qu’il y a autour.

Voilà une supputation exquise et constructive qui mériterait une bonne soutenance de thèse tout en synthèse, sans qu’on se taise .