Bondamanjak

« Mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa »

Le député de #Martinique Serge Letchimy, président de la commission « Impact du chlordécone et paraquat » auditionnait le Mardi 02 juillet 2019, Bruno Ferreira , DG de la Direction Générale de l’Alimentation, une audition filmée par la presse, donc publique, qui a révélé la disparition de 15 années d’archives (entre 1972 et 1989) et les plus polémiques, de rapports sur le chlordécone.

Connaissant ce cher Sergio, l’homme doit être en pleine remise en question. Il sait que le leurre de nous-mêmes a sonné et l’adage « Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis » lui fait au gland une cinglante piqure de rappel.

Aujourd’hui, il sait qu’il Léton pour lui de changer son fusil d’épaule. Comme dirait Césaire…l’heure est grave pour « les assassins de l’aube » ! N’empêche que la vérité , même si elle ne prend pas l’ascenseur notamment à l’Assemblée nationale, elle prendra l’escalier C . Et … chose étrange, Catherine Conconne , si apte comme dirait le chanteur Luciano, à dégainer à chaque pet médiatique bruyant, si apte à vouloir se croire indispensable et incollable sur tout (à la fois juge et partie), est terrée dans un silence sonore autant que bavard. Cathou ne parle du #chlordecone.

Même son black groom Mickaël Léton fait écho à son silence . Alors la nouvelle égérie de Nanard dit « Il faut passer à autre chose… » on a envie de dire : Cathou pa rété la. Alé fè an gran ron Lakou Perrinon… ! On connait ta soumission à Hayot et l’intérêt pécunier que tu lui portes, dette oblige …

Alors Sergio Gran nonm paka wont…plis foss … le combat est périlleux, mais noble, tu as les moyens de te faire pardonner et …nou sav ke ou péké ladjé ! Alors pour reprendre les mots d’un grand philosophe inconnu: « Je redis à tout le monde haut et fort: Mwen pa di zot alé voté ba peson’ ! » …Au fait. En commission…peux tu nommer les coupables ? Ceux qui sont à l’origine de ce deuxième crime contre l’humanité qui nous empoisonne durablement. Sergio…mon ami… fè sa bwilé mwen. Fè sa ba pèp la. Fè sa’w ka santi. Au nom de Césaire.