Bondamanjak

Sergio #Letchimy n’est pas Bernard #Hayot ni Michel-Édouard #Leclerc d’ailleurs

Quand #Bondamanjak a mis en lumière les contours d’un népotisme avéré notamment au Conseil régional de la Martinique, plusieurs fébriles partisans du leader #PPM, aveuglés par une cécité militante, ont vécu ce pan d’affreuses vérités comme un pian génétiquement gênant.

Le président de la Région Martinique, au cœur d’une instable déstabilisation, n’avait qu’une solution vaine… la victimisation participative.

En effet, il avait intérêt à se tenir à carreau car Serge Letchimy sait très bien qu’il n’est pas Bernard #Hayot.

Via #GBH, il peut, dans le secteur privé, monter une entreprise et créer par exemple…euh…au hasard…5000 emplois…embaucher ses filles, son beau-fils, sa nièce, la mère de son gendre…la fille de Chantal #Maignan…en un mot toute sa famille et qui il veut sans que cela pose un problème. C’est son argent. Son fric.

Sergio, lui qui jongle avec les deniers des contribuables, n’a pas ce pouvoir. C’est un élu du peuple et c’est de l’argent public. L’argent…du peuple.

Alors quand ses trolls viennent dire, le fiel aux lèvres, « Si c’était moi, je ferais comme lui… je penserais à mes filles et ma famille avant les autres ». Le danger de la démocratie falsifiée est là. Et bien là. Le Conseil régional de la Martinique n’est pas une entreprise privée. Ce n’est pas la Letchimy SARL .

Serge Letchimy sait très bien qu’il n’est pas Michel-Édouard Leclerc. Une collectivité ne peut pas créer 5000 emplois. Ce n’est pas possible surtout qu’elle ne détient pas les leviers de l’économie. MEL promet 10 000 emplois en trois ans. C’est un pari majeur qui n’a rien d’une vile promesse électorale. Il peut réussir ou échouer mais il ne leurre personne. Il n’est pas politique. Serge Letchimy, lui, a fait rêver des gens parmi les 53 000 chômeurs martiniquais. Il avait promis une Martinique nouvelle. Lol.

Depuis 5 ans…l’île vit dans une errance rare un peu comme un embouteillage qui tourne en boucle. Comme un pian en panne.