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Trois femmes libèrent la parole en Martinique : la réponse d’Audrey Pulvar

Dans une déclaration à l’AFP, Audrey Pulvar, indique avoir «été mise au courant des crimes commis» par son père «il y a une vingtaine d’années quand mes cousines nous en ont parlé».

«Cela a été un choc très profond pour mes proches et moi. Tant qu’elles ne souhaitaient pas s’exprimer publiquement, ce n’était pas à nous, à moi, de nous substituer à leur parole de victimes»…

«Elles sont en mesure et ont décidé de le faire aujourd’hui: je les soutiens pleinement et admire leur courage. Je souhaite qu’elles soient entendues et que leur parole soit respectée», poursuit l’ancienne journaliste originaire de Martinique.