
Depuis le 7 octobre 2025, il y a deux jours, soit 48 heures, Bondamanjak a publié cet article concernant la retraite illégale de Serge Letchimy l’actuel président du Conseil exécutif de la Collectivité territoriale de Martinique (plus pour très longtemps) . https://www.bondamanjak.com/retraite-illegale-serge-letchimy-et-didier-laguerre-convoques-au-tribunal-correctionnel-de-paris-en-novembre-2025/
Une bombe. Sauf que la glaire presse qui « informe » dans l’île chère à Émia Eriasec, n’a pas de couilles. RCI n’ayant plus le choix a lâché Pulvar. Le fameux Pupul le pilotin bon teint. France-Antilles a suivi timidement. Les enculés d’ATV ayant peur de perdre des subventions qu’ils ne verront jamais sont devenus amnésiques. Vive la zik.
Mais la graine de quénette sur le gâteux gâteau c’est Martinique La 1ère. 1ère dans la médiocrité. Pas un mot. La larvaire Pascale Lavenaire gère le média du service public comme une larve sans nerf. Pas étonnant…elle a bossé à RCI. Sans commentaire mais comment taire ?
Et voilà un ample exemple de sa gestion bolchévique :
Saint-Joseph, le 9 octobre 2025
À l’attention de Madame Pascale Lavenaire
Directrice régionale de Martinique la Première
Fort-de-France
Objet : Censure manifeste
Madame la Directrice,
Ce jeudi 9 octobre, M. Pedro Monerville m’avait convié à l’émission radio filmée de 13 heures sur Martinique la Première. Bien que je ne participe pas au congrès des élus, je souhaitais exprimer mon point de vue sur ce sujet.
Arrivé sur place, j’ai appris avec stupéfaction que je n’étais finalement plus reçu à l’antenne. Je n’avais reçu aucun message, alors qu’il est simple de contacter mon secrétariat si l’on ne peut me joindre directement.
Au-delà du manque de respect, je ne peux m’empêcher d’y voir un acte de censure délibéré. Oui, de censure car lorsqu’un média public, financé par les contribuables, choisit d’exclure une voix qui dérange, il participe à l’étouffement du débat et à la fabrication d’un discours unique.
C’est une dérive grave et préoccupante. La censure n’a jamais servi la vérité ni la démocratie. Elle les affaiblit. En écartant la contradiction, Martinique la Première renonce à son rôle de service public et contribue, consciemment ou non, à une pensée unique qui insulte l’intelligence collective et prive la population d’un véritable échange d’idées.
Je vous invite à mesurer la gravité de cet acte. Car lorsque la parole devient sélective, lorsqu’on choisit qui a le droit de s’exprimer, c’est tout l’édifice démocratique qui vacille.
Veuillez agréer, Madame la Directrice, l’expression de ma considération distinguée.
Yan MONPLAISIR
Maire de Saint-Joseph











