Murielle Renar-Legrand…où sont passés les 8 000 000 d’euros de la CARPA ?

En juin 2025, il y a 5 mois soit plus de 150 jours, l’innommable site internet Bondamanjak (droits réservés @martiniquela1ere) publiait bien avant le Canard Enchaîné (ce journal qui donne des couilles aux médias enculés de l’île chère à Émia Eriasec) cet article https://www.bondamanjak.com/dantesque-scandale-financier-au-barreau-de-fort-de-france-en-martinique/

5 mois plus tard, personne ne parle, aucun média enculé ne parle de ces 8 000 000 € qui ne sont plus dans les caisses de la CARPA. La bâtonnière Murielle Renar-Legrand fan de Justin Bridou, est muette, elle préfère user de sa voix non fluette dans les émissions TV à la con comme Telles Qu’elles.

Pas un mot sur ce délicieux scandale financier, qui n’a rien à envier à celui du REJI (14 000 000 €), ni aux 2 8000 000 € détournés à la Collectivité territoriale de Martinique par l’agent de catégorie C la plus forte de France.

Mumu la moue créole préfère assigner gilles dégras devant le tribunal judiciaire de Paris le 14 janvier 2026 à 13H35 pour avoir notamment publié cet article :

Les avocats de Martinique sont-ils des enculés-es ?

Elle rêve de fouiller dans son téléphone pour savoir QUI l’informe ? QUI est la taupe ?

Il n’y a pas de soucis Mumu. Dès le 17 novembre 2025…je serai à Paris pour assister au procès de Serge Letchimy après 5 ans d’obstination compulsif (Michaël Leton, le philosophe métis dirait…obsessionnel compulsif).

Après j’aurai du temps (voire beaucoup de temps) pour m’occuper sérieusement du dossier CARPA et forcément de ton cas.
Pour me rendre au Ministère de la justice. Pour mettre en branle les bittes d’amarrage afin de libérer la parole. Pour faire la lumière sur ton obscurité obscure qui mérite plus d’une cure. Ta pénombre en nombre.

On va se marrer…mais ça ne sera pas tout le temps drôle pour toi. En bon dard et en tout cas car…tu sais que je ne vais pas lâcher l’affaire. Te voilà avertie. Et une femme avertie en veau…en vélin…Lol.

Au fait, je passerai asap à ton cabinet pour te laisser une burette d’huile. Car hier j’ai pu constater et je ne suis pas le seul, dans la salle d’audience lors du procès des statues déboulonnées, que les roues de la valise grinçaient. Désolé. Ça m’a fait sourire même si je ne te trouve pas drôle. Mais vraiment pas.

gilles dégras