La nouvelle circulait anba fey sur terre et sur mer mais…c’est dans un avion que la rumeur a effectué sa mutation. Dimanche, 1er octobre 2017, le deputy Jean-Philippe #Nilor était comme beaucoup d’élus (es) de #Martinique sur un vol après un habituel séjour loisirs à #Paris. 8 heures c’est long alors, le romanticus cherche une proie. « AN pa la donk an ké wè si an pé plimen an zwézo ». Non loin de son siège, se trouve une femme. Mmmm. 😜😝😍😍. Le prédateur met en place son horodateur. No parking baby. L’avion n’est pas plein. L’occasion attise le larron… « Je peux venir prendre place près de vous ? ». Celle qu’on va appeler Lucienne, n’est pas lucéenne. Mais l’homme de Sainte-Luce garde espoir. Un petit sourire niais dont il a le secret et la miss craque comme une biscotte mouillée. La feuille de rut se met en place comme un plan de vol. Notez qu’on n’ose pas mettre un « i » entre le V et le O.
Notre informateur est juste derrière. Il entend tout. The deputy lui est comme dans ascenseur à 10 000 m. Eh oui quand il voit des lèvres humides il ne sait pas tenir sa langue. Du coup, on apprend qu’il va créer son propre parti et qu’il va devoir, bien malgré lui, quitter le MIM.
On apprend…qu’il a un bateau. Pas encore d’avion…mais l’avenir nous le dira. Un jour. Lucienne est aux anges. Lui, il déroule un verbe qui enchante le sujet…comme dirait mon ami Nestor …nous ne pouvons rester sur un 0-0….un score vierge…il faut que j’ouvre la marque …mon but c’est de faire trembler tes filets.
Elle rit. Ce qui est bon signe. Ils sont en mode By Low Law. Elle est là à 920 km/h avec un homme politique vif comme un vit dur et qui en sus ne va qu’au coeur. Ma foi il n’y a pas de quoi avoir les boules. Un 0696…plus tard…on verra si on se reverra. En attendant, espérons que Nilor ira au bout de son nouveau truc. Un nouveau parti pour montrer que ses parties ce ne sont pas des letchis ou des graines de quenettes.
A suivre.