
Ah les œufs. La viande des pauvres. La viande des périodes de crise. Eh bien…ul n’y en avait pas non plus le week-end dernier à Carrefour Cluny à Fort-de-France en Martinique. Avec la baisse du pouvoir d’achat la consommation d’œuf a augmenté. Normal.
La production locale s’organise pour satisfaire la demande. Mais les poules en ont ras le cul. Et les coqs bien que dopés n’arrivent pas à suivre la cadence imposée. Allez arrêtons les crêpes tet les omelettes. Sinon comme disent Anicet et Antoine…on va y laisser des plumes.