Le 17 décembre 2015, fraîchement élue, au cœur d’une euphorie quasi orgasmique, l’avocate membre du Mouvement Indépendantiste Martiniquais (MIM) Sandrine Saint-Aimé est dithyrambique.
Le 3 mars 2016, elle est encore fidèle à celui qui lui a permis d’avoir un rôle politique en #Martinique. Elle arbore même un tee-shirt de 80 g au coeur d’un militantisme écarlate.
Mais ça ne va pas durer. Elle est niloriste comme tous ceux et toutes celles voient la politique uniquement comme une source de revenus. C’est quoi être niloriste ? C’est investir sur les disons…10 prochaines années. Et attendre l’argent qui va avec. Au MIM, Alfred Marie-Jeanne ne peut pas garantir cette vision des choses. C’est un idéologue alors qu’aujourd’hui, la politique est plus que jamais un bizness. Récemment, en #France des élus de LREM ont pesté car leurs revenus avaient diminués. Eh oui les élus ne sont plus là pour le PEUP. Ainsi le peuple, le pays sont des mots creux. Surtout quand une population ne fait pas peuple. La Martinique n’échappe à son glaire destin. Alfred Marie-Jeanne bien que plus jeune que Bernard Hayot est traité de sénile c’est Nilor le bunglow Man qui veut ça. Lui le jeune de 53 ans (en mai) qui teint ses cheveux pour échapper au poids de l’âge. Que peut faire cet homme qui n’a jamais travaillé pour la Martinique ? Combien de temps va durer cette cécité collective ?
Sandrine Saint-Aimé, elle, a fait son choix.
Dans l’actuel qui ébranle le MIM elle joue la carte de la jeunesse comme Louise Telle, Maryline Lesdéma, Aurélie « Aga » Nella et apporte son soutien à Nilor, progéniture de franc-maçon comme elle, comme tous ceux et toutes celles qui gangrènent la CTM et perturbent son fonctionnement. Comme nos journalistes pathétiques les JMP et le d’un Z qui veut dire…. Mais…fin mars 2018…tout cela va changer. Vyé nonm lan ké fè zot rété an koté. Zot ké pran chimen sèvi savann. A suivre.