
Putain…après Libération…c’est au tour du Canard Enchaîné de s’intéresser au cas du Groupe Bernard Hayot (GBH). C’est méchant. Pire ce n’est pas gentil. Il va falloir prendre de la hauteur et peut-être voir si on ne peut pas obtenir la protection fonctionnelle. Car dans l’île chère à Émia Eriasec tout est impossible même l’impossible qui est une spécificité créole au cœur d’une résilience autant factice que imbécile.